Les bergers de la vallée savent le risque du loup pour les troupeaux dans les alpages de nos montagnes. Surtout pour les troupeaux de moutons.
Pour protéger son troupeau au plus près, un été, un berger avait installé sa caravane au milieu de son troupeau. C’est là qu’il dormait. Mieux qu’un chien patou, il était attentif à son troupeau qui pouvait dormir en toute sécurité.
De plus, comme tous les « bons » bergers, il connaissait chacune de ses brebis et pouvait les appeler par leur nom. C’était un bon berger, un bon pasteur qui peut illustrer très justement le texte de l’Évangile de ce dimanche où Jésus se dit le bon pasteur qui veille sur son « troupeau » que nous formons, Lui qui est venu habiter parmi nous et pour qui nous sommes, chacun personnellement, précieux à ses yeux. Père Maurice