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Horaires des célébrations pour le mois
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Retour sur l’exposé du Père Michel Euler du 11 janvier
Pourquoi une année jubilaire ? Pour remettre les pendules à l’heure, pour tout remettre dans les mains de Dieu. L’Église catholique a placé cette année 2025 sous le signe de l’Espérance et l’une des caractéristiques du jubilé est le pèlerinage vers des lieux privilégiés : Rome et les différentes églises jubilaires (une par diocèse – Pour la Savoie, c’est Notre-Dame de Myans qui a été retenue).
Le jubilé permet de découvrir la miséricorde de Dieu à travers le sacrement de réconciliation mais il va plus loin en accordant, à travers l’indulgence plénière obtenue, la réparation des conséquences du mal. En effet, le pardon permet de changer l’avenir, même s’il ne supprime pas le passé. Obtenir une indulgence consiste à réparer le mal qui est toujours présent et à s’en libérer. Mais attention, ce n’est pas un calcul mais une démarche pour que le bien prenne sa place dans le monde.
Il n’y a rien de magique dans l’Église ! Une manière complémentaire de faire une démarche jubilaire est de vivre les œuvres de miséricorde. Béatrice Berthier
Une église propre, accueillante, ouverte à la prière et au recueillement, des célébrations vivantes… tout cela existe grâce à des personnes de bonne volonté qui y consacrent une partie de leur temps libre. Vous disposez de quelques heures dans le mois ? vous souhaitez les rejoindre ? N’hésitez pas, elles se feront une joie de vous accueillir. Pour vous faire connaître, merci de contacter la paroisse
au 07 50 08 73 68.
SUR L’AMOUR HUMAIN ET DIVIN
DU CŒUR DE JÉSUS-CHRIST
Pour continuer l’exploration de ce texte fondamental du pape François, voici d’autres extraits. p. Mario
26. Saint Bonaventure disait qu’en fin de compte, on doit demander « non pas la lumière mais le feu ». Et il enseignait que « la foi est dans l’intellect de manière à provoquer le sentiment. Ainsi, le fait de savoir que le Christ est mort pour nous ne reste pas une connaissance mais devient nécessairement sentiment, amour ». Dans cette ligne, saint John Henry Newman a pris pour devise la phrase « Cor ad cor loquitur » ("Le cœur parle au cœur"), parce qu’au-delà de toute dialectique, le Seigneur nous sauve en parlant à nos cœurs à partir de son Sacré-Cœur. Cette même logique faisait que pour lui, grand penseur, le lieu de la rencontre la plus profonde, avec lui-même et avec le Seigneur, n’était pas la lecture ou la réflexion, mais le dialogue priant, cœur à cœur avec le Christ vivant et présent. C’est pourquoi Newman a trouvé dans l’Eucharistie le Cœur de Jésus-Christ vivant, capable de libérer, de donner un sens à chaque instant et de répandre en l’homme une paix véritable.
À presque 60 ans, sœur Simona Brambilla, ancienne supérieure générale des Missionnaires de la consolation – une congrégation religieuse féminine italienne –, vient d’être nommée par le pape François préfète du dicastère pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique, a annoncé le Vatican lundi 6 janvier. C’est la première fois dans l’histoire qu’une femme accède à une telle fonction à la Curie romaine, responsabilité jusque-là presque exclusivement réservée aux cardinaux et toujours occupée par des hommes. À la tête de son dicastère, sœur Simona aura la charge de tous les ordres et congrégations religieuses, masculines comme féminines, ainsi que les sociétés de vie apostolique, dans le monde. C’est désormais par elle que passeront les dossiers, parfois épineux, concernant leur gouvernement, leur discipline, leurs biens…
« C’était bien la messe, pas trop long, avec des chants... j’ai aimé lire la prière, en plus avec ma cousine... et puis il y avait des gâteaux à la sortie » (F. 12 ans)
Le 26 décembre, la chapelle de Villard Dessus (Séez) était habitée par une assemblée de tous âges, anciens, parents, jeunes et petits enfants. Ceux-ci ont reconstitué la crèche dans le chœur. Ce n’était pas une messe mais un temps de prière tout simple, réalisable partout à partir du moment où quelqu’un lance l’idée, envoie des invitations auprès des voisins du village et autour. A refaire ici et ailleurs.
Beaucoup à la crèche se sont réjouis et ont chanté. Moi, je ne t’ai pas vu, mais je crois en toi. Tu as dit : « heureux ceux qui croient sans avoir vu » (prière à la crèche).
Jacques Plassiard, prêtre
Pour prolonger l'esprit de Noël, marqué par la naissance de Jésus et sa promesse de paix, rapprochons-nous des habitants de Terre Sainte, où les conflits perdurent. Plongeons ensemble dans la vie de Nazareth, le village qui a vu grandir le Christ. Le texte qui suit pourrait nous y aider. p. Mario
Pape Paul VI |