Jésus, n’a-t-il pas dit « Venez à moi, vous qui peinez » ? A tous ceux qui l’ont reconnu et secouru à travers le souffrant, le malade, l’étranger, le prisonnier… n’a-t-il pas dit
« Venez les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous » ? Cette croix avec le Christ aux bras grands ouverts est un beau symbole de la dimension universelle du salut offert au monde. Elle dit aussi le dimension « catholique » (universelle) de l’Eglise fondée par le Christ. Comme sur beaucoup de croix, l’inscription de ces trois lettres (INRJ), initiales de Jésus de Nazareth roi des juifs, est là pour nous rappeler que Jésus est bien « roi », non pas à la manière des hommes, mais à la manière de Dieu qui est tout Amour. C’est par amour pour l’humanité que nous sommes que Jésus a donné sa vie sur la croix. Pour ne pas oublier que la mort du Christ sur la croix est un chemin de résurrection, en Orient surtout, les artistes ajoutent des rayons à la croix du Christ.
C’est tout cela que veut nous rappeler la fête du Christ-Roi que l’Eglise célèbre ce dimanche 26 novembre, dernier dimanche de l’année liturgique. (p. Maurice)
